Sous prétexte d’économie, il en couterait 3 à 4 fois plus cher aux collectivités d’avoir recours au secteur privé pour former aux 240 métiers exercés par leurs agents, mission qu’accomplit
aujourd’hui le CNFPT avec des taux de satisfaction frôlant les 90%, tant de la part des élus
locaux que des agents publics.
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